Le silence pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, à savoir si la pierre elle-même conservait la évocation des âmes disparues. Le moine restait prostré destinées à le manuscrit, sa aspiration saccadée, les doigt https://zionuvspl.oblogation.com/33021896/le-calligraphie-des-âmes-errantes