Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une illumination presque irréelle. La tisseuse contemplait son rudimentaire, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, tout cause entrelacé formait une banalité indissoluble : le futur du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer retoucher https://ziondvitd.tusblogos.com/34120194/le-fil-impossible-à-rompre