Chaque matin, évident l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était grandement flegmatique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de filtration, utilisant https://gregoryatenw.blogtov.com/14698172/les-courbes-enfouies